L’Évangile pour le Croyant
(traduction de “The Gospel for the believer” by Robert Jones)
La libération du croyant d’après l’Épître aux Romains, chapitres 5 à 8
Romains chapitre 6
Du péché à la droiture
À la fin du 5ième chapitre nous retrouvons la loi détrônée par la grâce de Dieu. Au 6ième chapitre la question qui suit est démandée et répondue; “Demeurions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde?” (6: 1). La grâce de Dieu est un sujet difficile a prêcher. Quand l’apôtre Paul prêchait la grâce de Dieu, il le fesait en démontrant l’abondance de l’amour de Dieu envers ses enfants. Mais Paul était conscient d’un danger; étant donné que le coeur humain est corrompu, ce même peut pervertir cette grâce et la détourner au péché. Au 5ième chapitre Paul déclarait comment la grâce justifie le croyant, et maintenant il nous démontre comment la grâce peut être justifiée. Il justifie la justification en disant que la grâce et la justification ne sont pas alliés du péché, mais plutôt les destructeurs du péché. La grâce ne fait pas que seulement enlever le remors du péché, mais régle la question du péché et produit la sainteté dans la vie et le caractère du croyant. En d’autres mots, la grâce règne sur la vie. La grâce est assise sur le trône, donc il n’y a aucune place pour la licence du péché. Il est vrai que nous ne sommes plus sous le pouvoir de la loi, mais maintenant nous nous retrouvons sous la grâce. La grâce de Dieu règne sur nous à la place du péché, de la mort ou de la loi. La grâce ne peut emporter la vie sauf sur ceux qui sont règnés par elle. C’est donc de cette façon que la grâce et la justification sont justifié.
Au 6ième chapitre nous retrouvons quatre réponses à la question: “Demeurions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde?” (6: 1). (1) Nous ne pouvons plus (versets 1 à 11); (2) Nous n’avons plus besoin (versets 12 à 14); (3) Nous ne devons plus (versets 15 à 19); (4) Nous sommes mieux de plus (versets 20 à 23). Premièrement Paul résonne avec celui qui pause la question, lui fait appel, le commande et finalement en le prévient. Il résonne, “Nous ne pouvons plus”. Il fait appel, “Nous n’avons plus besoin”. Il commande, “Nous ne devons plus”. Et il prévient; “Nous sommes mieux de plus”. Voilà un sommaire de ce chapitre. N’en voiçi un autre: “Demeurions-nous dans le péché?” – il est impossible pour ceux qui sont mort au péché de demeurer dans le péché. (6: 2). Le verset 3 nous dit que c’est une contradiction de notre profession de foi en son baptême (le baptême du Christ). Le verset 4 nous affirme que cela est inconsistent avec notre union avec Jésus-Christ. Les versets 5 à 7 nous démontrent comment cela est un retour à l’ancien esclavage. Les versets 9 à 11 nous déclarent que c’est une violation de l’image de notre vie, qui doit être conforme à Jésus-Christ. Les versets 12 à 14 nous signalent que cela n’est pas nécessaire, car elle dépose Dieu de son pouvoir contre le péché. Les versets 15 à 20 nous préviennent que cela pourrait ammener le péché et le pouvoir de Satan dans notre vie. Le verset 21 nous dit que continuer dans le péché est inacceptable à la conscience chrétienne. Et finalement, les versets 22 et 23 nous assures que cela pourrait avoir une fin désastrueuse. Voilà le sommaire complet de ce chapitre.
Il y a trois choses a considérer aux réponses à l’égard de la délivrance du péché. Nous les retrouvons au versets 17, 18 et 22. Dans ce chapitre, le mot péché devrait toujours être écrit en lettres majuscule, car le péché est mentionné qu’au singulier et non au pluriel. La délivrance des “péchés” n’est pas le sujet de ce chapitre, comme au chapitre précédant qui nous assure que la justification nous libère des péchés. Ici, au 6ième chapitre, nous retrouvons quelque chose de plus grand encore: l’émancipation du “PÉCHÉ” comme maître, qui tyrannise ses esclaves. Le traitement de ceci se retrouve en trois parties: les versets 1 à 11; 12 à 14; et 15 à 23. La première partie nous parle de la méthode de délivrance; la seconde discute de l’appropriation de cette délivrance par la foi et la troisième partie dévoile le bût et le résultat de cette appropriation.
(1) La façon par laquelle la délivrance du péché est rendue certaine
(versets 1 à 11).
(2) Cette délivrance doit être complètement exercée avec joie
(versets 12 à 14)
(3) Cette délivrance n’est pas une fin par elle-même, mais une condition de quelque chose de plus grand – une condition de sainteté et de vie
(versets 15 à 23).
La méthode de délivrance
Regardons maintenant à la méthode de délivrance. Nous retrouvons un parallel des onze premiers versets des chapitres 5 et 6. Dans le 5ième chapitre nous avons vus l’implication de la mort de Jésus-Christ pour nous, mais au 6ième chapitre nous examinons l’implication de notre mort avec le Christ. Notre connaissance de cette méthode de délivrance du péché est futile sans une relation personnelle avec celui qui peut nous sauvés, Jésus-Christ. Nous ne pouvons pas mettre la méthode en pratique, c’est seulement Dieu qui peut le faire. Nous devons laisser ce travail à Dieu et au Saint-Esprit. La connaissance ne peut jamais remplaçer la foi. Comment donc, est la liberté effectuée. Par la mort! Car la mort est la porte à la vie, et cela par notre mort. La délivrance du remors et de la pénalité du péché est possible seulement par la mort d’un autre pour nous, mais la délivrance du pouvoir du péché dépend sur notre mort avec Lui. Le seul moyen de délivrance du péché est en mourrant au péché, car en mourrant nous passons dans le domaine là ou le péché n’est plus, là ou la séparation avec le péché est complète et finale.
Le péché se trouve a être contraire à l’attitude adoptée et finale du chrétien, et en opposition avec l’action de Dieu envers le vieil homme. Nous retrouvons la première attitude dans les cinq premiers versets, et la deuxième attitude au 6ième verset. Donc l’attitude subjective du chrétien se rejoint à la vérité objective qui se trouve en Christ. L’attitude de la mort est symbolisée dans le baptême. “Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché?” (6: 2). Le péché est détestée – pas les péchés, mais le PÉCHÉ, ce maître tyrannique. Quand nous étions baptisés, est-ce que notre baptême nous a rendus mort au péché. Çi non, nous devrions croire maintenant que c’est le cas? Ce baptême nous parle de notre union avec Jésus-Christ, l’incorporation et l’association avec Lui. Cette union est complète, car c’est l’union avec tout se qu’Il est et en toutes ses relations. Nous sommes unis avec Lui dans sa mort, et nous sommes séparés de notre ancienne vie (vieil homme). La tombe suit. La mort et la résurrection sont les portailles de la résurrection, que “…de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie”. (6: 4). Une vie avec une nouvelle qualité, une nouvelle nature et un nouveau caractère. Ce n’est pas surprenant que l’apôtre Paul priait de connaître de façon profonde le pouvoir de sa résurrection. Il n’y a aucun autre pouvoir adéquat pour la délivrance du péché, et pour vivre une vie de sainteté en servant Dieu. Voilà la méthode par laquelle le pouvoir de sa résurrection travail. Si nous croyons ceci avec tout notre être, nous ne serons plus affligés par le désappointement et la défaite. Si nous sommes mort avec Jésus-Christ, la nouveauté de vie est sa séquence. L’union avec Lui est l’union en toutes choses, dans le présent jusqu’à son achèvement. (6: 5). Nous débutons en union avec Christ en sa mort, et une fois réunis, nous sommes emportés vers sa résurrection. Cette résurrection ne sera pas complète tant que notre corps physique soit glorifié comme celui de notre Seigneur Jésus-Christ. Or, nous serons en tout aspects comme Lui, cars l’ultime bût est ce nouveau corps. Ceci n’enlève rien de notre vie présente, mais ce nouveau corps représente l’ultime de ce procéssus.
“Nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec Lui, afin que se corps de péché soit réduit à l’impuissance…” (6: 6), ou en d’autres mots rendu inopératif, détruit. Ce corps de péché est toujours un corps de péché, même chez le croyant. Les inclinations du péché se retrouves toujours présentes chez nous. “Que le péché ne règne donc pas dans votre corps mortel, et n’obéissez pas à ses convoitises.” (6: 12). Le corps du chrétien le plus mature et spirituel se retrouve a être un “corps de péché”. Le péché, qui est chassé de son trône de la volonté et de l’esprit, fait du corps sa forteresse. Le fait que le péché est présent dans nos membres physiques évoque chez nous l’envie de la rédemption de notre corps. La référence de ceci est faite au 8ième chapitre de Romains. Le fait actuel de notre corps, ce”corps de péché”, et l’espérance de la rédemption de ce corps, nous est présentés constamment dans ces chapitres. Nous n’éprouvons aucune difficulté a comprendre le sens de ce “corps de péché”. Il nous semble que l’apôtre Paul utilise ce terme litéralement pour désigner le “corps mortel” avec tout ses désirs (convoitises). (6: 12).
Crucifiés avec Christ
Et quoi faire de ce “vieil homme”? Ce terme semble être nécéssité par la venue du nouvel homme. Paul utilise le terme “vieil homme” pour décrire ce qu’il était avant que le nouvel homme soit venu. Il substitue le terme “vieil homme” pour “Je” dans “Je suis crucifié avec Christ,” (Galates 2: 20). Nous pourrions dire que le “vieil homme” se retrouve a être l’ancienne personalité, mais ceci nous semble une exagération, car ceci laisse entendre beaucoup plus que nous voudrions dire. Paul utilise donc le terme “chair” en connection avec le terme “vieil homme”. Pendant plusieurs années j’ai confondu ces deux termes, croyant qu’ils voulaient dire la même chose. Maintenant, je me rends compte de l’impossibilité, car il y a deux choses (predicated) du “vieil homme”; (1) “notre vieil homme a été crucifié avec Lui,” (6: 6); et (2) dans les épîtres aux Colossiens et aux Éphésiens, le vieil homme doit être dépouillé. Paul nous dit que le “viel homme ” à déjà été dépouillé. Et c’est à la Croix que ceci à déjà été accompli. À la Croix, nous et nos péchés ont été crucifiés avec Christ. Le “vieil homme” a donc été mis à mort comme un criminel et rebelle sans aucune espérance. Ce “vieil homme” crucifié est clairement distincte de notre mort au péché. Le “vieil homme” n’est pas mort au péché, il meurt en ses péchés. Il y a donc besoin d’un “nouvel homme” à mourrir au péché. Le “nouvel homme” est d’accord avec Dieu que la seule place pour le “vieil homme” est la Croix, et donc dépouille le “vieil homme”. Le travail de crucifier le “vieil homme” n’est pas à nous de faire; Dieu l’a déjà accomplit, et nous devons le voir comme un ouvrage fini. Mais la “chair” reste a être crucifié par le “nouvel homme”. (Gal. 5: 24). Le “vieil homme” est crucifié, mais sa nature, ses tendances et ses habitudes involontaires reste. Le “vieil homme” a utilisé le mécanisme de notre être pendant tellement longtemps, que nous sommes aptes d’ajir comme dans le passé pour satisfaire les désirs de la chair. Ce sont les “actions du corps” que nous sommes appelés a mettre à mort. (8: 13).
Le moyen de délivrance est indiqué. Nous sommes justifés du péché. Aucun maître peut réclamer un serviteur qui est mort. Çi il s’évade et est attrapé, il devrait peut-être répondre à une charge criminel, mais l’esclave qui est mort est aussi libéré. Les esclaves du péché sont morts, et le péché, qui est le vieux maître doit le reconnaître. Mais la mort de l’esclave n’est qu’un aspect de ce sujet. “Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec Lui.” (6: 8). Nous partageons cette vie maintenant! Nous avons besoin de sa vie pour que nous puissions mourrir au péché, et tout ce donc le péché signifiait dans notre vie. Nous avons besoin de sa vie pour approprier à chaque jour que nous sommes mort au péché. Notons encore, que nous ne mourrons pas aux péchés (pluriel), mais au péché (singulier), étant accomplit par un acte complet. Mourrant aux péchés n’est pas complet ni final, mais plutôt quelque chose qui doit être fait de jour en jour. Christ est mort – et nous aussi. Christ vie – et nous avec Lui. Nous devons approprier cette réalité constamment. Nous n’avons pas finis avec la Croix, mais nous avons finis de mourrir au péché. Ceci est l’enseignement de ce passage.
La mort et la vie! Nous atteignons le positif par le négatif. La mort n’ait pas la fin, mais plutôt le moyen que nous atteignons la vie et devenons “vivants d’entre les morts”. Nous voulons vivre, et non mourrir, mais nous mourrons afin de pouvoir vivre et de passez de plus en plus dans la plénitude de sa vie. Chaque aspect de cette vie se trouve à la Croix.